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page L'incertain cohérent manifeste des cohérences modifiée le : 12/05/2012 - 08:37:21 | Accueil | | Aide | | | | http://nocinema.org/ | | http://locusonus.org/ | | http://www.mdlc-lef.com/ | |
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« L’Incertain cohérent -Manifeste des Cohérences » est un projet artistique qui s’enracine dans l’expérience de la danse en la mêlant au son, au chant, au texte, à la vidéo et fait intervenir des artistes de ces différents domaines.« L’Incertain cohérent - Manifeste des Cohérences » se joue dans un espace d’immersion chorégraphique. « L’Incertain cohérent - Manifeste des Cohérences » utilise un outil technologique innovant qui active la « conscience corporelle » du spectateur (le Dispositif d’Implication Perceptive) et utilise des savoirs issus des sciences cognitives. « L’Incertain cohérent - Manifeste des Cohérences » est une pièce chorégraphique de 90 minutes pour 5 danseurs, 1 chanteuse, 1 vidéaste et 1 musicien qui s’adresse à 3 subacteurs (spectateurs équipés du DIP) et 1 large public. « L’Incertain cohérent - Manifeste des Cohérences » peut aussi être une installation son-image-DIP qui s’ouvre au public en dehors des moments de représentation. Le public peut alors s’installer sur les fauteuils du DIP et vivre l’expérience de subacteur dans l’environnement sonore et visuel de l’installation. L’installation ouvre la possibilité de diverses rencontres avec le public (action de sensibilisation, accueil jeune public « pierre arbre oiseau », ateliers pédagogiques,… ) « L’Incertain cohérent - Manifeste des Cohérences » s’installe et habite toute sorte d’espace, salle de spectacle, musée, hall, studio, gymnase,… ce sont les projections vidéo qui composent l’espace. conception, chorégraphie et danse : Thierry Giannarelli musique : Alain Michon, Laurent Charles vidéo, développement multimédia : Stéphane Cousot danse : Emmanuelle Pépin, Véronique Delarché chant : Catherine Jauniaux accueil spectacles : Alon(e) Alon(e) Deux La chevelure en feu… PEUT ETRE l'Incertain cohérent agenda contact le D.I.P.Un dispositif proposé et conçu, par Thierry Giannarelli, neurobiologiste de formation et chorégraphe de la compagnie l’Imparfait. Ont participé à sa réalisation, Stéphane Cousot (artiste-programmeur), Julien Marro-Dauzat (cognitiviste), Emmanuel Vidal (Architecte d’intérieur), Alain Michon (son), Véronique Delarché (danse). Le D.I.P. est un partenariat avec J.P. Roll, Directeur du Laboratoire de Neurophysiologie Humaine (CNRS, Marseille), et est soutenu par le DICREAM (Ministère de la culture, aide à la maquette en nouvelles technologies). Nous défendons l’idée que l’œuvre d’art prend forme dans la conscience corporelle de celui qui la reçoit et que recevoir le «sens» d’une œuvre d’art, c’est se mettre en empathie, c'est-à-dire dans une présence corporelle où nous sommes tout au bord d’une action, à fleur d’une gestuelle invisible. Éprouver est la conscience de ce geste invisible. Éprouver, percevoir, imaginer sont des expériences très proches, les biologistes parlent parfois «d’actions simulées». Par cette empathie l’artiste transmet son «monde intérieur» à «la corporalité complice» du spectateur. Par empathie, le spectateur éprouve l’œuvre d’art «dans la chair de son esprit». Dans le dispositif, notre intention n’est pas d’utiliser les vibrateurs neuromusculaires pour donner à vivre une sensation de mouvement mais de créer une perturbation sensorielle à partir de laquelle le spectateur recomposera des sensations corporelles semblables à celles qu’il connaît dans l’empathie. Une subaction poétique est un ensemble d’images, de sons, des sensations de mouvement avec lesquels le spectateur invente un «sens» (c'est-à-dire une cohérence perçue) enraciné dans sa présence corporelle. C’est de cet enracinement que naît une étonnante intensité artistique. |