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page Lieu d'écoute nomade
modifiée le :
11/09/2012 - 11:54:41
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| http://www.mdlc-lef.com/ |
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sommaire
Un véhicule aménagé acoustiquement est ouvert aux passants pour un temps d’écoute limité à 15 minutes; l’auditeur potentiel choisit sur une liste une suite de séquences sonores, il est invité à une écoute en semi obscurité à l’intérieur de l’habitacle.
format PDF/ Présentation du projetécoute nomade
Sur une liste, l'auditeur choisit une suite de séquences sonores limitée à une durée totale de 15 minutes. Les sons sont classés par thèmes (paysages sonores, installations, compositions électroacoustiques, extraits de pièces pour le spectacle vivant etc...);
Des sons bruts mélangés à des sons traités, recomposés et entrecoupés de silences. Le silence est traité à l’égal du son et fait partie de la structure compositionnelle de l’ensemble. Ces silences peuvent êtres issus de paysages sonores dont on aurait gommé, filtré le brillant (silence gris), ils sont aussi silences noirs (no data = pas d’information numérique) plongeant l’auditeur dans un vide abyssal.
Quel serait alors un silence blanc ?... Un silence éblouissant qui aurait la particularité d’aiguiser l’écoute de l’auditeur et de percevoir des sons au-delà des parois du lieu d’écoute.
Une telle organisation provoque chez l’écoutant une attitude perplexe. Les bruits du dehors en intrus viennent frapper à la porte de son espace intime (un bruit de pas, un avion, une voix). L’auditeur devient alors actif...Ce que j’entends à ce moment précis vient-il de la bande ou du dehors ?..
La volonté de discerner ce qui est inscrit sur la bande et ce qui provient de l’extérieur induit une qualité d’écoute supérieure, l'attention est alors affinée. L'auditeur cherche à en savoir plus; il se met à écouter vraiment.
Exemple de séquences disponibles
extrait interprété par Max Michon/ commande de la Fondation Cartier 1996
Quintet/ des phrases trouées Amphithéâtre de Morphologie/étudiant 1ere année ensb-a/2002
fiction plage du pin de gal la petite compagnie des enfants lecteurs/Pradet/ Juin 2006
descente d'escalier
Ecouter la nature ! il suffit de presque rien pour se mettre à écouter; un faux pas, une trainée dans le ciel, un mouvement de feuilles,une motte de terre, un cailloux qui roule sous la chaussure. Mais un groupe de promeneur itinérant, comment faire entendre : Je propose de créer des conditions d'écoute ; ce qui pourrait être le presque-rien...entendue.
Installation dans la colline du Thoronet / système multicanal.
Ici, l'installation est projetée hors du véhicule, elle se développe sur un territoire plus vaste et permet aux auditeurs une immersion naturaliste abstraite. Entourés d'une série de haut-parleurs intégrés dans le paysage existant, la bande son est composée de plusieurs pistes indépendantes diffusées selon des points stratégiques du site. Le texte de Magali Latil (écrivaine plasticienne)est la pièce maîtresse de l'installation et les interventions en direct du saxophoniste Laurent Charles apportent par sa mobilité une extension du champ sonore(entre le son direct et le son différé).
Robert Kocik
Magali Latil
Festival Wallis 2007 A CARISACARISA CAR 2007
Un véhicule aménagé acoustiquement est ouvert aux passants pour un temps d’écoute limité à 15 minutes; l’auditeur potentiel choisit sur une liste une suite de séquences sonores, il est invité à une écoute en semi obscurité à l’intérieur de l’habitacle.
format PDF/ Présentation du projetécoute nomade
Version 2006 / camion.
http://www.mdlc-lef.com/festivalfmi/archives/archive_fmi06.htm
Version 2007/ camionnette.
http://www.forumwallis.ch
Sur une liste, l'auditeur choisit une suite de séquences sonores limitée à une durée totale de 15 minutes. Les sons sont classés par thèmes (paysages sonores, installations, compositions électroacoustiques, extraits de pièces pour le spectacle vivant etc...);
Des sons bruts mélangés à des sons traités, recomposés et entrecoupés de silences. Le silence est traité à l’égal du son et fait partie de la structure compositionnelle de l’ensemble. Ces silences peuvent êtres issus de paysages sonores dont on aurait gommé, filtré le brillant (silence gris), ils sont aussi silences noirs (no data = pas d’information numérique) plongeant l’auditeur dans un vide abyssal.
Quel serait alors un silence blanc ?... Un silence éblouissant qui aurait la particularité d’aiguiser l’écoute de l’auditeur et de percevoir des sons au-delà des parois du lieu d’écoute.
Une telle organisation provoque chez l’écoutant une attitude perplexe. Les bruits du dehors en intrus viennent frapper à la porte de son espace intime (un bruit de pas, un avion, une voix). L’auditeur devient alors actif...Ce que j’entends à ce moment précis vient-il de la bande ou du dehors ?..
La volonté de discerner ce qui est inscrit sur la bande et ce qui provient de l’extérieur induit une qualité d’écoute supérieure, l'attention est alors affinée. L'auditeur cherche à en savoir plus; il se met à écouter vraiment.
Exemple de séquences disponibles
- Voix:
extrait interprété par Max Michon/ commande de la Fondation Cartier 1996
- Installation:
- Réalisme fiction
- Pédagogie : espace réverbéré / amphithéâtre du mûrier/ étudiants 1ère année ensb-a/2002
Quintet/ des phrases trouées Amphithéâtre de Morphologie/étudiant 1ere année ensb-a/2002
fiction plage du pin de gal la petite compagnie des enfants lecteurs/Pradet/ Juin 2006
descente d'escalier
- Pièces perso
- Paysages fiction
Version 2008/Installation/ 'De Presque rien.'
http://www.limparfait.org/presquerien/
Ecouter la nature ! il suffit de presque rien pour se mettre à écouter; un faux pas, une trainée dans le ciel, un mouvement de feuilles,une motte de terre, un cailloux qui roule sous la chaussure. Mais un groupe de promeneur itinérant, comment faire entendre : Je propose de créer des conditions d'écoute ; ce qui pourrait être le presque-rien...entendue.
Version 2009 /Installation/ 'De Presque rien.'
Installation dans la colline du Thoronet / système multicanal.
Ici, l'installation est projetée hors du véhicule, elle se développe sur un territoire plus vaste et permet aux auditeurs une immersion naturaliste abstraite. Entourés d'une série de haut-parleurs intégrés dans le paysage existant, la bande son est composée de plusieurs pistes indépendantes diffusées selon des points stratégiques du site. Le texte de Magali Latil (écrivaine plasticienne)est la pièce maîtresse de l'installation et les interventions en direct du saxophoniste Laurent Charles apportent par sa mobilité une extension du champ sonore(entre le son direct et le son différé).
Robert Kocik
Magali Latil
Festival Wallis 2007 A CARISACARISA CAR 2007